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Revue de presse ...
OUla la ! y a des trucs comme ça à ne pas dire ! Je suis tombé à l'instant sur la revue de presse de courrier international et je ne peux que constater que les Etats-Unis commence à vraiment faire peur. Il parle d'hégémonie Américaine, que se serait pas mal... blablabla et surtout ils disent que bien qu'efficace se serait épuisant. Là, tu pleurs au vue d'une telle connerie et je reste poli. Je ne crois pas que c'est en atomisant tout le monde que ça calmera les ardeurs de terroristes ou resistants. La guerre appelle la guerre, comme le pouvoir appelle le pouvoir, on peut voir ça d'une façon aussi simple sans dénaturé quoique ce soit. La paix peut être maintenu par la force et c'est ce qu'il s'apprête à faire mais ils s'offrent pour les décénies à venir de nombreux attentats... Oui, ce ne seront que des escarmouches qui n'empêcheront personne en Occident de bouffer à sa faim pendant que les autres se font massacrer, c'est tout à fait juste. On le fait déjà à l'heure actuelle alors pourquoi changer ? Je dirai simplement ceci: "Je rêve et je crois que l'homme peut parcourir l'univers et encore évoluer vers je ne sais quel état et qu'il peut faire de grandes choses. Mais faut-il encore qu'il reste en vie... C'est pas gagné !"
ANGWARD
Revue de presse du courrier international
“George W. Bush n’est pas considéré sur la scène internationale comme un géant intellectuel mais il a eu un éclair de génie politique en déclarant le 12 septembre 2001 que les Nations unies risquaient de perdre leur raison d’être”, affirme le “Wall Street Journal”. Et “c’est précisément cette perte d’influence que voulaient éviter les pays membres”, explique le journal.
Ainsi, la menace du président américain de lancer unilatéralement une guerre contre l’Irak “ne lui a pas valu l’estime de l’opinion internationale”. Bush a cependant obtenu le soutien du Congrès américain, puis le vote à l’unanimité de la nouvelle résolution de l’ONU, la semaine dernière, réclamant le désarmement de Saddam Hussein. Selon l’éditorial du quotidien américain, “le principal problème de cette organisation était l’absence de leader. Maintenant, elle en a un.”
Pourtant, c’est cette prépondérance américaine qui, selon le “Los Angeles Times”, “joue en défaveur du réel pouvoir du pays”. “L’hégémonie est un objectif attrayant”, concède le quotidien. “En théorie, les Etats-Unis devraient chercher à accumuler le plus de pouvoir possible afin d’obtenir à terme la sécurité totale. Mais l’Histoire a prouvé que l’hégémonie épuise.”
Le “Wall Street Journal” reste cependant convaincu du bien-fondé de la position de Bush. Pour ce journal, “vu les armes disponibles aujourd’hui, le monde ne peut plus se permettre une autre erreur de jugement. Les Nations unies font enfin face à cette nouvelle réalité, grâce aux efforts fédérateurs de Bush.” Le “Wall Street Journal” affirme que “la leçon de ces dernières semaines a prouvé qu’une organisation multilatérale qui maintiendrait la paix dans le monde ne peut être viable sans un réel leadership américain”.
Le “Los Angeles Times”, quant à lui, propose une alternative à la doctrine hégémonique de Bush : “Laisser se créer un contrepoids à l’étranger.” “Plutôt que de lutter contre l’émergence de nouveaux centres de pouvoir sur la scène politique internationale, cette stratégie reviendrait à en tirer profit”, précise le journal. “Contrairement à un monde dominé par les Etats-Unis, dans lequel ils représenteraient un aimant pour tous les ressentiments, un monde multipolaire permettrait de répartir les menaces.”
De plus, conclut le quotidien, “en abandonnant les objectifs géopolitiques extravagants de Bush, les Etats-Unis peuvent diminuer le risque de confrontation ouverte avec les nouveaux grands pouvoirs et espérer établir avec eux des relations respectueuses et coopératives”.