Angward

C’est le 14 juillet 2002 que tout bascula en France et en Europe, quand le président français Jacques Chirac fut mortellement blessé par Maxime Brunerie, militant extrême droite partisan du MNR et soutenant le Front National de M. Le Pen au élection présidentielle de 2002.

Après un moment de stupeur partout en France, les esprits s’échauffèrent dès la soirée lorsque l’on apprit l’appartenance du meurtrier. Malgré les précisions de la police indiquant un déficit psychiatrique chez le coupable, la chasse aux sorcières commença. L’appel au calme du président de l’assemblée, deuxième homme politique français, apte à gouverner, comme celui du premier ministre Raffarin, ne firent rien. Cette chasse débutée en Mai 2002, allait se poursuivre de façon bien plus violente au cours de l’été de la même année. Ca n’était pas simplement une vengeance vis à vis du meurtre de M. Chirac mais la réaction de la foule à une accumulation injustifiée d’accusations envers la France que certains peuples et dirigeants étrangers traitaient de racistes. Les Français semblaient avoir attendu ce moment. Et leur haine envers la droite extrême se transforma en croisade pour le peuple et la tolérance. Des pillages, tabassages et insultes fusèrent. Les listes d’adhérents furent publié dans les journaux aggravant le phénomène à tel point que la police ainsi que les gendarmes se mirent à protéger les personnes susceptibles d’être agressé.
L’Europe comme le reste du monde, condamnaient les actions avec fermeté sans aucune réaction de la part de la population française. Beaucoup de référence à la Révolution apparurent dans les journaux. Le phénomène d’anti-mondialisation fut portait par la foule bien haut et le gouvernement décapité ne su prendre les bonnes initiatives et même fit charger la foule par les CRS. Pour ne rien arrangé, M. Le Pen crut bon de faire un discours dénonçant une manipulation de l’establishment politique Français contre lui. On ne saura jamais ce qu’il voulut obtenir car il disparu de la circulation quelques semaines après, sans explications. Certains disent qu’il s’est enfui d’autres qu’il est mort, mais soyons en sûr, sa disparition en demeurera une bonne chose.

Les français essayèrent de se calmer, mais dans toute l’Europe, des mouvements similaires se soulevèrent. Le calme allait être totalement balayé par un formidable élan sociale. Les notions se mélangèrent pour le meilleur sans pour autant éviter le pire.

C’est dans cette ambiance que la campagne électorale française se lança, des têtes apparurent dans tous ce remue-ménage avec des idées radicales et une volonté toute innocente de réformer le monde, rien de moins. Mais pour une fois, un vrai élan Européen est né et quelque soit le résultat de l’élection présidentiels de 2003, une révolution profonde est en train de naître, bien plus profonde qu’en mai 2002. Encore faut-il que les Français aient les « couilles » de relever le défi !!